Vers Fin




Face a Face


C'est une occasion unique pour deux artistes polyvalents, le pianiste Makoto Kuriya venu du Japon et le trompetiste Patrick Artero de se rencontrer pour un jazz anachronique et moderne. Ils seront soutenu par la rythmique subtile du batteur japonais parisien Hidehiko Kan.
La rencontre aura lieu le 2006/07/11 au Franc Pinot a Paris

YAMAHA Asahi Beer
Vers le Franc Pinot

 



Makoto Kuriya


Makoto Kuriya Makoto Kuriya a commence sa carriere en tant que pianiste de Jazz alors qu'il etait encore etudiant aux Etats Unis. Il s'est rendu aux Etats Unis immediatement apres ses etudes secondaires au Japon pour obtenir un diplome en linguistique a l'universite de West Virginia. Il a alors principalement joue avec de celebres musiciens de la cote est des Etats Unis. Apres son retour au Japon, il a enregistre plus de 10 albums de Jazz and a diversifie son oeuvre/travail afin de donner une impulsion nouvelle au Jazz . Il est ainsi aussi devenu compositeur. Dote d'une curiosite et d'un interet pour le developement de la musique permanents, ses activites se sont diversifiees dans differents genres. Il s'attache non seulement au Jazz mais aussi a la musique classique, produit des chansons de musique Pop Japonaise, compose de la musique pour le cinema et cree des extraits pour la musique de lounge/club. Makoto Kuriya est non seulement un veritable pianiste de Jazz, mais maitrise aussi les instruments et techniques MIDI afin de creer de nouvelles sonorites. Il arrange aussi des oeuvres pour orchestres. Ses realisations diverses et variees, ses resultats accomplis temoignent de son talent a travers le monde. Il dit "J'essaye tourjours de creer un musique nouvelle et d'ouvrir la scene existante du Jazz qui a tendance a se fermer".

Chez Makoto



Patrick Artero


Patrick Artero Né en 1950 au VietNam, Patrick Artero commence sa vie musicale vers quatre ans en entendant pour la première fois Louis Armstrong sur des 78 tours de son père. Vers 10 ans, il commence la trompette et après quelques années d’études, il se produit à la tête de l’orchestre de son collège (1964). Tout cela va l’amener à rencontrer le groupe « phare » du moment, «les Haricots Rouges» (1969), dont il partagera l’existence pendant près de quatre années. Entre deux concerts à l’Alcazar au sein de l’orchestre des « Pieds de Poules», la rencontre avec le Sextet de Michel Attenoux sera déterminante pour sa carrière. Il va y côtoyer toutes les vedettes françaises du jazz de cette époque, Claude Lutter, Maxim Saury, Marc Lafferiere, Claude Bolling (dont il sera le soliste au sein du Show Bizz Band), Guy Laffitte, Raymond Fol (dont il devient avec André Villeger un des pilliers de son quintet), René Urtreger, Pierre Michelot, Gérard Badini, Martial Solal, etc… Ensuite son CV commence à ressembler à une encyclopédie du jazz, et la liste des musiciens de légendes avec lesquels il a collaboré est presque sans fi n. Nul doute que s’il reste quelques grands noms du jazz avec qui il n’a pas joué, c’est que ceux-là avaient malheureusement déjà disparus. À titre d’exemple, pour les trompettistes avec qui il a joué ou enregistré : Harry Edison, Cat Anderson, Joe Newman, Thad Jones, Dizzy Gillespie, Bill Coleman, Jimy Mc Partland, Clark Terry. Les saxophonistes : Benny Watters, Bud Freeman, Eddy Davis, Buddy Tate, Harold Ashby, Stan Getz, Benny Carter, Earl Warren, Peanuts Hocko, Albert Burbanks, Eddie Daniels. Les trombonnistes: Jim Robinson, Louis Nelson, Eddy Hubble, Eddy Bert, Kay Winding, Glenn Ferris. Mais aussi : Lionel Hampton, Georges Benson, Milt Buckner, Sonny Penn, Sam Woodyard. Les chanteuses: Betty Carter, Carmen Mc Rea, Carrie Smith, ainsi que Cab Calloway ou encore Joe Williams. Bref, pendant les années 70, il se consacre au jazz et participe à la plupart des aventures de musique syncopée en France. Il aura même contribué au prix Sidney Bechet de l’académie du Jazz de l’Anacronic Jazz Band en 1977 et tourne aussi pour la télévision en tant qu’acteur principal la vie de Bix Beiderbecke. Il collabore à des musiques de court et longs métrages ainsi qu’a des musiques de scènes ou il tient aussi de temps en temps des rôles de musicien. Au tournant des années 80, il se passionne pour la Salsa (il est comme son nom l’indique, d’origine espagnole) et de la même façon, se mêle aux plus illustres représentants de la musique Latine : Chocolate Armenteros, Alfredo Rodriguez, Carlos «patato» Valdes, Papaito, les Frères Gonsalès de New-York, et Mauricio Smith. De 1984 à 1990, la quasi totalité des productions africaines et antillaises vont faire appel à la section de cuivres qu’il a mis sur pied, et qui va lui permettre d’accompagner des vedettes de variété comme Kassav, Zouk Machine, Touré Kunda, Alpha Blondy ou Bernard Lavilliers. Retour au Jazz dans les années 90, avec quelques belles aventures: Paris Barcelonna swing connection qui enregistre avec Frank Wess et Will Bill Davis, les Collegiens de Sacha Distel, les Big bands de Gérard Badini, de Francois Laudet et Michel Pastre, des orchestres comme Mambomania et Mégaswing quintet, un Marching Band dénomé Parad’, ainsi qu’une formation de jazz traditionnel au nom quelque peu ésotérique… Darwin Nostradamus. Ayant toujours travaillé au sein d’orchestres en qualité de sideman, existence qui lui a permis de rencontrer et de jouer avec quelques unes des plus grandes vedettes du Jazz et de la variété, Il se produit désormais sous son propre nom. On a pu également le rencontrer sur quelques plateaux de télévision, accompagnant aussi bien Ray Charles, Michel Leeb, Serge Gainsbourg, Eddy Mitchell, Maurice André, Dizzy Gillespie, Henri Salvador ou Michel Legrand. Musicien très éclectique Patrick Art ero voyage de musiques en musiques, se nourrit de rythmes et de mouvements, ce qui correspond bien à sa nature de musicien voyageur.


Chez Patrick...



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